Brigitte Macron muette face à la détresse d’Ayem Nour, sous contrôle judiciaire au Maroc
Brigitte Macron et son mari président, n’ont rien pu faire pour Ayem Nour, en guerre avec son ex-mari Vincent Miclet pour la garde de leur fils de six ans, Ayvin. Et sa situation vient prendre un tour judiciaire, suite au placement sous contrôle judiciaire au Maroc.
Le couple présidentiel, interpellé sur les réseaux sociaux, n’ont rien pu faire pour de l’ex-star de la télé-réalité. Il ne s’est pas manifesté.
Et désormais, la jeune femme a l’interdiction de quitter le territoire, suite à des accusations graves formulées par l’avocat de Vincent Miclet, riche homme d’affaires.
Le conflit entre les deux ex amoureux a débuté en 2016, lorsque Ayem Nour a obtenu la garde de leur fils en France, avec un droit de visite pour Vincent Miclet lors des vacances et un week-end sur deux.
Cependant, une clause stipulait que dès l’âge de six ans, l’enfant devrait passer un mois d’été avec son père, au lieu des 15 jours précédemment convenus. Cette situation s’est retournée contre Ayem Nour, qui craint pour l’avenir de son fils dont quelques photos ont été diffusées sur les réseaux sociaux.
La situation semble avoir atteint un point critique l’été dernier, lorsque les ex-époux ont convenu que leur fils serait scolarisé à Marrakech pendant un an, avec possibilité de prolongation.
Ayem Nour, révélée au grand public grâce à sa participation à Secret Story, affirme avoir rapidement réalisé que Vincent Miclet avait utilisé cette situation pour tenter d’obtenir la garde exclusive de leur fils, ce qui l’a poussée à le récupérer à l’école pour rentrer en France. Cependant, son ex-compagnon avait déjà pris des mesures pour l’en empêcher.
Vincent Miclet, de son côté, affiche une certaine sérénité et exprime sa confiance en la justice marocaine. Son avocat a d’ailleurs déclaré au Parisien que les accusations contre Ayem Nour étaient graves, notamment celles d’enlèvement d’enfant et de refus de scolarisation.
L’ex-star de la télé-réalité est actuellement sous contrôle judiciaire au Maroc, avec interdiction de quitter le pays, mais aurait tenté de le faire avant d’être arrêtée par les autorités marocaines.
La situation serait particulièrement préoccupante pour Ayvin, qui, selon l’avocat de Vincent Miclet, serait privé d’éducation depuis plus de cinq mois. Vincent Miclet affirme avoir tendu la main à plusieurs reprises à Ayem Nour, mais devant l’impasse, il compte maintenant laisser la justice marocaine agir pour assurer l’équilibre de leur enfant, avec les potentielles conséquences regrettables pour Ayem Nour.
Quelques jours plus tôt, en pleurs, elle avait lancé un appel au chef de l’état sur Instagram.