Le choix du Maroc pour la Coupe du Monde 2030 est le résultat du développement d’infrastructures sportives de qualité, selon le Secrétaire Général de l’Union pour la Méditerranée (UpM)

Le choix du Maroc pour la Coupe du Monde 2030 est le résultat du développement d’infrastructures sportives de qualité, selon le Secrétaire Général de l’Union pour la Méditerranée (UpM)

Le développement des infrastructures sportives de qualité au Maroc a joué un rôle déterminant dans la désignation du pays, en partenariat avec l’Espagne et le Portugal, pour accueillir la Coupe du Monde 2030, selon le Secrétaire général de l’Union pour la Méditerranée (UpM), Nasser Kamel.

Dans une interview accordée à la MAP lors de sa participation à un forum sur les femmes d’affaires à Tunis, Nasser Kamel a souligné que les progrès réalisés par le Maroc dans divers domaines, notamment dans le développement des infrastructures sportives, ont grandement contribué à la candidature conjointe avec l’Espagne et le Portugal.

L’organisation de cette prestigieuse compétition sportive au Maroc permettra au monde entier de découvrir les avancées réalisées par le pays dans différents secteurs, a-t-il ajouté.

M. Kamel a également souligné que le Maroc a su tirer parti de sa position géographique stratégique et de son capital humain pour intégrer son économie de manière plus efficace dans son environnement régional et international.

Il s’est réjoui du succès de la candidature marocaine, notant qu’il s’agit de la première participation d’un pays arabo-méditerranéen à l’organisation d’un événement d’une telle envergure.

Le choix du Maroc pour accueillir la Coupe du Monde 2030 fait suite au succès retentissant de l’édition 2022 au Qatar, démontrant ainsi que les pays arabes disposent des moyens nécessaires pour organiser les plus grandes compétitions mondiales, a-t-il souligné.

Nasser Kamel a également mentionné d’autres événements importants organisés par des pays arabes, tels que les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international qui se sont tenues à Marrakech, ainsi que le sommet sur le climat organisé en Égypte l’année dernière, et la candidature de l’Arabie saoudite pour accueillir la Coupe du Monde 2034.

Abordant la question de l’autonomisation des femmes au Maroc, le Secrétaire général de l’UpM a souligné le leadership du Roi Mohammed VI dans ce domaine, ainsi que la contribution active des femmes marocaines à la vie économique.

Il a également mis en avant le projet « Flower », financé par l’UpM, qui vise à renforcer l’autonomisation des femmes rurales au Maroc. Le projet a connu un succès retentissant, en particulier auprès des femmes touchées par les répercussions de la pandémie de Covid-19.

Le Women Business Forum, organisé à Tunis les 11 et 12 octobre par l’UpM et l’Organisation des Nations Unies pour le développement industriel (ONUDI), a offert un espace d’échange de connaissances avec des acteurs des secteurs public et privé. Le forum a abordé plusieurs thématiques, dont le rôle des avancées technologiques dans l’autonomisation des femmes, l’entrepreneuriat féminin dans l’industrie 4.0 et l’inclusion économique des femmes dans la région MENA.

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