Trump frôle la mort : une légère inclinaison de tête lui sauve la vie en Pennsylvanie

Dans une révélation poignante, le journal américain « New York Times » a dévoilé les détails d’une conversation entre l’ancien président des États-Unis, Donald Trump, et son médecin, le Dr. Ronny Jackson. Trump a confié à ce dernier que s’il n’avait pas légèrement tourné la tête, il ne serait probablement plus en vie aujourd’hui. « Si la trajectoire de la balle avait dévié d’un centimètre, je serais mort », a-t-il déclaré.
L’incident s’est produit samedi, lors d’un discours de campagne devant ses partisans en Pennsylvanie. Selon le « New York Times », Trump a téléphoné à son médecin quelques heures après la tentative d’assassinat, affirmant qu’un « graphique derrière lui » lui avait sauvé la vie.
Alors qu’il s’apprêtait à indiquer des statistiques sur l’immigration clandestine affichées à sa droite, une balle a été tirée dans sa direction. Ce simple mouvement de tête a dévié la trajectoire de la balle, lui infligeant une blessure mineure à l’oreille droite. « Ce mouvement de tête m’a probablement sauvé la vie. Si je ne l’avais pas fait, la balle aurait traversé ma tête », a expliqué Trump.
Dimanche, Melania Trump a qualifié l’assaillant de « monstre », dénonçant l’attaque qui a failli coûter la vie à son mari. Dans une déclaration à l’Agence France-Presse (AFP), elle a exprimé son horreur et sa colère face à cet acte de violence. « Un monstre a tenté de réduire au silence l’homme que j’aime. Donald est une source d’inspiration, de rire et de passion, et cet acte de barbarie aurait pu nous priver de tout cela », a-t-elle écrit sur la plateforme « X ».
Elle a également exprimé sa gratitude envers les agents du service secret et les responsables de l’application de la loi qui ont risqué leur vie pour protéger son mari. « En voyant cette balle frapper Donald, j’ai réalisé que nos vies, à moi et à notre fils Barron, étaient à deux doigts de basculer dans le chaos », a-t-elle ajouté.
Cet événement tragique souligne une fois de plus les dangers auxquels sont exposés les figures politiques de premier plan et rappelle l’importance de la vigilance et de la protection constante qui leur est due.